Année 1867
- Aubry - Bulletin du bouquiniste
- Busserolle - Armorial général de la Touraine New
- Catalogue général de la librairie française
- Dictionnaire français illustré et Encyclopédie universelle - Martinisme, martiniste
- Essais critiques sur la littérature contemporaine - Saint-Martin, le philosophe inconnu New
- Études religieuses, historiques et littéraires
- Franck - Philosophie et religion
- Roche - Les prosateurs français - Article Ballanche
- Saint-Albin - Les Francs-Maçons et les sociétés secrètes
- Strœhlin - Étude sur William Ellery Channing
- Crétineau-Joly – Histoire des trois derniers princes de Condé
- Mickiewicz - Histoire populaire de la Pologne
- Geffroy - Gustave III et la cour de France
1867 - Aubry - Bulletin du bouquiniste
Bulletin du bouquiniste
Publié par Auguste Aubry, libraire
11e année, 1er semestre, tome XXI
Paris, A. Aubry, libraire éditeur, rue Dauphine, 16
1867
15 mars, 246e numéro, page 172
1247. Saint-Martin. Des erreurs et de la vérité, ou les Hommes rappelés au principe universel de la science, par un philosophe inconnu (Saint-Martin). Edimbourg, 1782, in-8, cart. à la Bradel, n. rog. 5 fr.
15 mars, 246e numéro, page 172
15 avril 1867, 248e numéro, page 227
1573. Saint-Martin (Esprit de). Pensées choisies. Paris, 1836, in-12. Br. 3 fr. 50
Ces pensées sont extraites des œuvres devenues fort rares, de Saint-Martin, le mystique auteur de l’Homme de désir.
1574. — Le même, demi-rel., v. viol. 3 fr. 50.
15 avril 1867, 248e numéro, page 227
15 mai 1867, 250e numéro, page 289
1979. Moreau (L.) Le philosophe inconnu. Réflexions sur les idées de louis Claude de Saint-Martin le Théosophe, suivies de fragments d’une correspondance inédite entre Saint-Martin et Kirchberger. Paris, 1850, in-12, br. (Devenu rare).
Détails sur la vie du célèbre mystique et analyse de ses œuvres.
15 mai 1867, 250e numéro, page 289
1867 - Busserolle - Armorial général de la Touraine New
précédé d'une notice sur les ordonnances, édits, déclarations
et règlements relatifs aux armoiries avant 1789.
Jacques-Xavier Carré de Busserolle (1823-1904)
Membre de la Société archéologique de Touraine
Publié par la Société archéologique de Touraine
Tome XIX
Tours
Imprimerie Ledevèze
39 bis, rue Royale
1867
Article Saint-Martin en Touraine, pages 833-834
SAINT-MARTIN (de), en Touraine. — Famille anoblie en septembre 1672, en la personne de Jean de Saint-Martin, Sgr de la Borie et du Buisson.
Claude-François de Saint-Martin, écuyer, né à Amboise, le 6 novembre 1717, fut maire de cette ville en 1754-55-56, et mourut en 1793.
Louis-Claude de Saint-Martin, écuyer, conseiller du roi, maire d'Amboise (1773-74), procureur du roi au siège [page 834] présidial Tours (1764-84), né le 19 janvier 1743, mourut en 1804.
D’azur, au lion naissant, d’or, coupé de gueules, à une fasce ondée d’argent.
Cette notice sur Louis-Claude de Saint-Martin est entachée d’erreurs :
- Louis-Claude de Saint-Martin est né le 18 janvier 1743, et non le 19 janvier. Il ne fut ni écuyer, ni conseiller du roi et n’a jamais été Maire d’Amboise
- Il a été avocat - et non procureur - à Tours en 1764 mais a donné sa démission au bout de 6 mois.
- Il mourut le 14 octobre 1803 et non 1804
Article Saint-Martin en Touraine, pages 833-834.
1867 - Catalogue général de la librairie française
Catalogue général de la librairie française pendant 25 ans (1840-1865) rédigé par Otto Lorenz, libraire
Tome premier (A-C)
Paris. Chez O. Lorenz, rue des Beaux arts, 3 bis.
1867
Page 438
CARO (Elme Marie, littérateur, professeur de philosophie à la Faculté des lettres de Paris, né à Poitiers en 1826.
- Du Mysticisme au XVIIIe siècle. Essai sur la vie et la doctrine de saint Martin, le philosophe inconnu. In-8°. 1852. Ibid. [Hachette et Cie] 5 fr.
1867 - Dictionnaire français illustré et Encyclopédie universelle
Dictionnaire français illustré et Encyclopédie universelle pouvant tenir lieu de tous les vocabulaires et de toutes les encyclopédies
B.- Dupiney de Vorepierre
Chevalier de la Légion d’honneur, docteur en médecine, licencié en droit, etc.
Et rédigé par une société de savants et de gens de lettres
G – Z
Paris, bureau de la publication – rue Saint-Honoré, 203
Michel Lévy frères, libraires, rue Vivienne, 2 bis
1867
1ère édition : 1864 – L’édition de 1876 se trouve sur Gallica
Martinisme, martiniste, page 383
MARTINISME. s.m. MARTINISTE. s. 2 g.
Enc. — On désigne sous ce nom la doctrine d’une petite secte d’illuminés qui fut fondée, vers 1754, par un juif portugais nommé Martinez Pasqualis. Les partisans de cette doctrine, que l’on appela Martinistes du nom de son auteur, prétendaient être en commerce avec les âmes et avec les intelligences célestes, et se livraient aux opérations théurgiques. Cette secte disparut à la révolution ; cependant un des anciens disciples de Pasqualis, Louis-Claude de Saint-Martin , dit le Philosophe Inconnu, essaya de la continuer, tout en faisant subir à la doctrine du maître des modifications capitales, et en la transformant en un spiritualisme mystique plus rapproché du christianisme, mais néanmoins encore plein de rêveries et d’erreurs.
Martinisme, martiniste, page 383
1867 - Essais critiques sur la littérature contemporaine
par Édouard de Barthélemy (1830-1888).
les livres nouveaux.
Série 3-4 séries
Paris
Librairie académique Didier
Libraires-Éditeurs
35, quai des Augustins
1867
Extrait de l’Avant-Propos :
« Nous rassemblons, pour la troisième fois en volume, des articles publiés dans la Gazette du Midi ; ce Recueil embrasse les principales publications depuis le commencement de l'année 1862, et nous ne pouvons demander pour lui que la continuation du bon accueil fait à ses devanciers. »
VIII. 31 Janvier 1863. Pages 60-68
Article publié précédemment dans la Gazette du Midi.
Saint-Martin, le philosophe inconnu, sa vie et ses écrits, son maître Martinez et leurs groupes, d'après les documents inédits, par M. Matter, conseiller honoraire de l'Université, 1 vol. in-8° Didier. 1862.
On connaissait peu, avant la curieuse étude, publiée il y a une dizaine d'années par M. Caro, l'existence de ce mystique philosophe, dont le nom presque seul avait percé, ou plutôt le surnom ; car c'est surtout du « philosophe inconnu » que l'on s'occupait, sans cependant avoir jamais pu comprendre ni même déchiffrer tous ses mystérieux ouvrages. M. Matter a été frappé par cette ligure intéressante et originale, par cette vie si pure et si sereine, au milieu de tant d'orages, si détachée en face de tous les attachements les plus vifs et les plus impérieux. Quand, autour de lui tout est passion ou violence, persécution ou peur, Saint-Martin est sûr, calme, aimant. désintéressé le sage en personne.
Lire la suite sur le site : Essais critiques sur la littérature contemporaine - Saint-Martin, le philosophe inconnu
1867 – Franck - Philosophie et religion
Philosophie et religion
Adolphe Franck [1809-1893], membre de l’Institut, professeur au Collège de France.
Paris. Librairie Académique.
Didier et Cie, libraires éditeurs. 35, quai des Augustins, 35.
1867
Le mysticisme chez les Grecs. IV – Extrait, pages 52-53
Pour les mystiques chrétiens, au contraire, à quelque Église et à quelque temps qu'ils appartiennent, pour les mystiques chrétiens, Dieu est avant tout le type idéal et vivant de toute bonté, de toute perfection, de toute grâce, qu'on ne peut connaître sans l'aimer, qu'on ne peut aimer sans lui sacrifier tout autre amour, sans se donner à lui tout entier, sans s'immoler pour lui, sans renoncer à. soi pour ne plus vivre qu'en lui et par lui. Comme il n'y a d'amour possible que pour un être capable d'aimer à son tour, pour un être intelligent qui a la conscience de lui-même en même temps qu'il connaît les transports et les sacrifices dont il est l'objet, le mysticisme chrétien suppose nécessairement un Dieu personnel. C'est en Dieu qu'il voit le modèle accompli de la personnalité, l'exemplaire éternel de la nature humaine, tandis que le mysticisme alexandrin la répudie comme une mutilation et une déchéance. Mais si le mysticisme chrétien, que d'ailleurs il ne faut pas confondre avec le christianisme lui-même, rend hommage à la personnalité divine et [54] reconnaît d'une manière générale la personnalité humaine, on ne peut pas se dissimuler qu'il tend à l'anéantissement de l'individu et à la destruction du sentiment de l'existence par l'absorption extatique de la créature dans le créateur. On rencontre souvent dans Tauler, dans Saint-Martin, dans maître Eckart, dans Fénelon, dans le petit traité anonyme de la Théologie germanique, des expressions qu'on dirait tirées des Ennéades ou des Commentaires de Proclus sur le Parménide.
Le mysticisme chez les Grecs. IV – Extrait, pages 53-54
Une nouvelle religion en Perse. Extrait, page 314
Qu'on lise le début du Livre des préceptes, traduit par M. de Gobineau à la suite de son excellent ouvrage, on verra que Dieu, parce qu'il est « l'unité des unités et la somme des sommes, » est absolument tout ; l'unité d'abord, et ensuite la pluralité ; ce qui, résiste à la division et ce qu'il y a de plus divisible ; ce qu'il y a de plus caché et de plus manifeste, de plus ancien et de plus nouveau, de plus tendre et de plus sévère, de plus juste et de plus miséricordieux : « Il n'y a pas une seule chose, sinon dans lui. » Voici un passage du même livre qui doit être, selon toute apparence, le Credo de la religion nouvelle « Nous croyons tous en Dieu, et nous mettons tous notre foi en Dieu ; et nous avons tous commencé en Dieu, et nous retournerons tous en Dieu, et nous tirons tous notre joie de Dieu (2). »
A cette doctrine sur l'origine des êtres vient se joindre, sur la fin du monde et le jugement dernier, une opinion particulière qui a beaucoup d'analogie avec celle que nous avons rencontrée récemment dans une production du mysticisme (3), due également aux inspirations de l'Orient.
Notes
1. Le Livre des préceptes, traduit par M. Gobineau, p. 469.
2. Ibid., p. 498.
3. Voyez le Journal des Savants, cahier d'octobre 1865, septième article sur Saint-Martin [de Adolphe Franck, reproduction du chapitre 7 de son livre La philosophie mystique en France à la fin du XVIIIe siècle. Saint-Martin et son maître Martinez Pasqualis].
Une nouvelle religion en Perse. Extrait, page 314
1867 – Roche - Les prosateurs français - Article Ballanche (1776-1847)
Les prosateurs français.
Recueils de morceaux choisis dans les meilleurs prosateurs, depuis l’origine de la littérature française jusqu’à nos jours avec une notice biographique sur chaque auteur.
Par Antonin Roche, Directeur de l’Educational Institute de Londres, chevalier de la Légion d’honneur.
Nouvelle édition, augmentée de notes grammaticales, littéraires, etc.
Paris. Ch. Delagrave et Cie, lib. Éditeurs, 78, rue des Écoles
Londres. Trübner, 60 Paternoster Row
1867
Édition de 1845
À noter que l’édition de 1845 du même livre ne comportait pas la référence sur Saint-Martin.
Les prosateurs français. Recueils de morceaux choisis dans les meilleurs prosateurs, depuis l’origine de la littérature française jusqu’à nos jours avec une Notice biographique et critique sur chaque auteur.
Par Antonin Roche, professeur d’histoire
Paris. Imprimé pour P. Rolandi, 20 Berners Street, à Londres.
Et se trouve aussi chez Truchy, boulevard des Italiens
1845.
1845 – Roche - Les prosateurs français
Article Ballanche (1776-1847) – Extrait, p. 386
Ballanche, homme modeste, mena une vie retirée, toute consacrée à la recherche de la vérité. On pourrait lui appliquer le mot de Joubert sur le philosophe Saint-Martin : « Il s'élève aux choses divines avec des ailes de chauve-souris. »
Article Ballanche (1776-1847) – Extrait, p. 386
1867 - Saint-Albin - Les Francs-Maçons et les sociétés secrètes
Les Francs-Maçons et les sociétés secrètes
Alex. De Saint-Albin
Deuxième édition, revue, considérablement augmentée et suivie des actes apostoliques des souverains pontifes Clément XII, Benoît XIV, Pie VII, Léon XII et Pie IX.
Paris. F. Wattelier et Cie, libraires éditeurs, 19, rue de Sèves.
M DCCC LXVII
Chapitre I. Les origines. Extrait, p. 55, note 3
Note 3 :
« Quant aux doctrines de Saint-Martin, un mot de lui les résume : Tous les hommes sont Rois. Et ce mot venait compléter celui de Luther, prononcé trois siècles auparavant : Tous les Chrétiens sont prêtres. » Le F.·.François Favre, p. 49).
Et l’autorité de Saint-Martin fut considérable chez les Francs-Maçons ? Voici ce que dit de son livre des Erreurs et de la Vérité le F.·.J. G. Findel qui, pour son compte personnel, rejette tout à fait l’autorité du Philosophe inconnu, sans doute parce qu’il y a encore trop de religiosité dans le fatras de Saint-Martin, et que la religiosité garde encore quelque trait de ressemblance avec la Religion : « Il ne [56] fut pas seulement révéré en France comme un Evangile par des FF.·.isolés, mais en Allemagne on le considéra comme une mine de vraie science maçonnique, et on le recommanda particulièrement aux FF.·.Chevaliers initiés d’Asie. Le F.·.Claudius, le messager de Wandsbeck, le traduisit en allemand, bien que, de son propre aveu, il n’y comprit rien. » (Histoire de la Franc-Maçonnerie, t. I, p. 457).
Les Francs-Maçons et les sociétés secrètes - Note 3, p.55
Chapitre III. Les doctrines. Extrait, p. 265, note 1
Luther avait dit : Tous les Chrétiens sont prêtres. Saint-Martin dit : Tous les hommes sont Rois. (Voir plus haut, p 55, note 3). La Franc-Maçonnerie dit aujourd’hui : Tous les FF.·. sont dieux. Quo non ascendam !
Chapitre III. Les doctrines. Extrait, page 265, note 1
Chapitre IV, Les trames et les métamorphoses. Extrait, p.346-347
Cazotte, ouvrier de l'œuvre révolutionnaire,
Un Frère raconte que Cazotte s'était fait ainsi affilier à la « secte des Martinistes », et il ajoute : « Lorsque les sociétés maçonniques eurent pris une tendance politique avouée, et surtout lorsque la Révolution fut venue dévoiler le but de cette tendance, Cazotte, fervent royaliste, s'éloigna d'elle (2). » Mais avant de s'éloigner d'elle, il l'avait servie, servie dans cette œuvre qu'il devait maudire en la connaissant, servie contre la [page 347] cause pour laquelle il devait mourir. Avant de s'éloigner de la Franc-Maçonnerie, le fervent royaliste, prenant part aux travaux de sa Loge avec l’ardeur qu'il apportait en toute chose, avait travaillé contre la Royauté. Car, « à la veille de la « Révolution, c'est le même Frère qui le dit, la Maçonnerie devient un instrument de mouvement et d'action (1) ». [Procès Cazolte, p. 46].
Cazotte, ouvrier de l'œuvre révolutionnaire
Chapitre IV, Les trames et les métamorphoses. Extrait, p. 457
« Il parut un écrit portant pour titre : Erreurs et vérités. Cet ouvrage fit grande sensation et produisit sur moi la plus vive impression. Je crus d’abord y trouver ce qui, d’après ma première opinion, était caché sous les emblèmes de l’Ordre ; mais à mesure que je pénétrai plus avant dans cet antre ténébreux, plus profonde devint ma conviction, que quelque chose de tout autre nature devait se trouver dans l’arrière-fond. La lumière devint plus frappante, lorsque j’appris que Saint-Martin, auteur de cette publication, devait être et était réellement l’un des coryphées du Chapitre de Sion. Là se rattachaient tous les fils qui devaient se développer plus tard, pour préparer et tisser le manteau des mystères religieux dont on s’affublait pour donner le change aux profanes. »
[Citation d’un mémoire aux représentants des autres grandes puissances, lors du Congrès de Vérone, du plénipotentiaire prussien, le comte de Haugwitz].
Chapitre IV, Les trames et les métamorphoses. Extrait, p. 457
1867 - Strœhlin - Étude sur William Ellery Channing
Étude sur William Ellery Channing
par Ernest Strœhlin, candidat au saint ministère
Génève. Imprimerie Ramboz et Schuchardt
1867 - 159 pages
William Ellery Channing
Sa vie, sa prédication, son rôle comme abolitionniste et comme réformateur social
Thèse présentée à la vénérable compagnie des pasteurs et professeurs de Genève par
Ernest Strœhlin, candidat au st ministère
Exergue
« La vie nous a été donnée pour que chacune des minutes dont elle se compose soit échangée contre une parcelle de la vérité ».
(SAINT-MARTIN, le philosophe inconnu.)
1867 - Strœhlin - Étude sur William Ellery Channing
Cette citation est reprise d'autres auteurs. Nous l'avons trouvé dans des ouvrages publiés en 1860 chez Edmond Scherer en exergue dans son ouvrage Mélanges de critique religieuse. Sainte-Beuve, Causeries du Lundi, et la Revue Suisse reprennent cette phrase à la suite de critiques sur l'ouvrage de Scherer.
Elle est également reprise en 1866 dans La Revue bleue, le Moniteur scientifique, le Bulletin administratif du ministère de l'instruction publique, le tome 7 du Grand dictionnaire universel de Pierre Larousse et la Revue des cours littéraires de la France et de l'étranger (1866, volume 3), p.376.
Au XXe siècle, d'autres ouvrages et revues reprennent cette citation comme La Grande revue (1903, volume 24), page 104 ; la Revue des Français (vol. 8, 1913), p.236 ; la Revue mondiale : ancienne Revue des revues (1920), p.172 ; Les Cahiers protestants (1921), volume 5, p. 271 ; Albert Cim dans Nouvelles récréations littéraires et historiques (1921), p.18 la Société languedocienne de géographie (1931), p.7, citant Scherer .
De nos jours, cette citation se trouve dans Les arbres et les jours, de Jacques de Bourbon Busset (1967), page 69.