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  3. Généalogie

Raison d'une recherche

Mon père et ma mère ont le même nom : BOUTIN, et sont nés tous deux en Loire Atlantique, 44.

  • Mon père, Louis Jean Marie Joseph BOUTIN, au nord de la Loire, exactement à Couëron
  • Ma mère, Marie Victoire BOUTIN, au sud de la Loire, dans le Pays de Retz, à St Hilaire de Chaléons.

L’originalité de cette recherche généalogique, outre de remonter le temps le plus loin possible pour retrouver ses ancêtres, a été de vérifier si les deux familles BOUTIN ont un point commun : existe-t-il une parenté entre les BOUTIN de Saint Étienne de Montluc et les BOUTIN de Saint Hilaire de Chaléons ? Sont-ils des Chouans, comme l’affirmait avec tant de conviction Louis BOUTIN ? et à quelle époque, dans cette hypothèse, ont-ils franchi la Loire ?

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Publié le : 10 Octobre 2006

Lire la suite : 1. Raison d'une recherche

Les recherches généalogiques entreprises ne sont pas toujours très simples à effectuer.

Elles présentent différents écueils :

  • Le temps : pour faire des recherches, il faut du temps…..
  • Le déplacement : il faut également se déplacer et la Loire Atlantique n'est pas à la porte des Alpes Maritimes….
  • Les BMS : "Baptêmes, Mariages, Sépultures" (B.M.S.) sont des registres qui ont débuté en 1650 en Loire Atlantique. Ce sont les curés qui ont eu l'obligation d'écrire sur des livres tous ces actes. Ils devaient les tenir en double exemplaire : l'un, conservé à la paroisse, l'autre, envoyé à l’Évêché. heureusement que ces livres ont été tenus ; dans le Pays de Retz, les originaux ont pour ainsi dire tous été détruits à la Révolution; il ne reste que les doubles. Ces derniers, qui ne sont qu'une recopie des originaux, sont mal écrits, sans les signatures, parfois incomplets, de lecture difficile. Aux Archives départementales de L. A., ces livres ont été microfilmés et les microfilms sont à la disposition du public, ce qui facilite grandement les recherches.
  • Les archives des mairies et les Registres de l'État civil : actuellement, les mairies n'acceptent plus les généalogistes pour des recherches sur les registres. Il en refusent l'accès et renvoient systématiquement aux Archives départementales à quelques exceptions près comme Fay de Bretagne ou Couëron. Et même dans certaines communes, les registres de l'État civil ne sont même plus consultables. Ces registres ont remplacés à partir de 1792, les B.M.S.
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Publié le : 5 Octobre 2007

Lire la suite : 2. Les recherches

Le nom BOUTIN

Étymologies, Signification, répartition, Au fils du temps...

Étymologie

BOUTIN est la forme diminutive des noms de baptême germaniques en BOT tels que :

  • BOT-HARD messager - force = BOUTARD
  • BOT-WALD messager - pouvoir = BOUTAUD
  • BOT-KARI messager - armée = BOUTIER

Ces noms ayant des variantes telles : BOUDARD, BODARD, ou BOUDAUD, BODAUD, etc...

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Publié le : 10 Octobre 2007

Lire la suite : 3. Le nom Boutin

Découverte d'une sculpture de Saint Étienne de Montluc

La sculpture de la rue de la Paix

Ce fut lors de mon premier séjour à Saint Etienne de Montluc en 1995 que j'ai découvert cette sculpture au 13, rue de la paix. Je venais consulter dans l'ancienne salle de la Mairie les archives de Saint Etienne de Montluc qui étaient alors mises à l'entière disposition des chercheurs en généalogie. En attendant l'ouverture, je me promenais dans cette petite ville que je découvrais. Quel ne fût pas mon étonnement alors en remontant la rue de la Paix vers 13h ce jour-là de trouver et la gargouille et la sculpture!

Renseignements pris aussi bien chez le photographe situé en face de la dite sculpture, rue de la Paix, à qui nous devons la photo, que chez la libraire, il existe très peu de choses connues :

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Publié le : 10 Octobre 2007

Lire la suite : 4. Une découverte

Étude d'une sculpture de St Étienne de Montluc

Porche de Saint-Jacques de la Boucherie
Les éléments proprement religieux se limitent aux deux anges latéraux.

Le personnage central, représenté comme eux à mi-corps, est inscrit dans une forme d’écu. Il ne porte aucun attribut religieux (auréole, habit, monogramme…).

Vu la clé qu’il tient de la main droite, on pourrait pourtant être tenté d’y reconnaître un Saint Pierre. La courte épée qu’élève sa main gauche serait alors celle dont l’apôtre coupa, au Jardin des Oliviers, l’oreille d’un soldat romain.

Mais ces deux attributs trouvent une interprétation cohérente à la lumière d’un double symbolisme traditionnel dont les indications se complètent sans se contredire.

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Publié le : 10 Octobre 2007

Lire la suite : 5. Étude de la sculpture

« Voyez-vous, il y a au fond de la vie une certaine douceur, un sentiment d'insouciance et de sécurité — comment dire ? —, une certitude absolue que rien, semblait-il, ne pourrait jamais ébranler, qui court dans le corps des vivants, traverse leurs membres, suscite leurs mouvements et les rend aisés, qui, ivre d'elle-même et de sa propre joie, projette toujours quelque nouvelle entreprise, le dessin de ce qui n'a encore jamais été, une existence agrandie et plus pleine, où le bonheur d'être sera plus grand encore. Et c'est cette force qui, pour la première fois, chancelle, ici, dans cette ville... »

 Michel Henry, L’Amour les yeux fermés. Édition Gallimard, Folio n°1401 (1982), page 281.